Territoire de création
Paysage pris depuis le village de Tanaron
Vue d'une petite cabane dans Tanaron sur la vallée du Bès
Vue sur l'arrière de la maison des chantiers jeunes
Paysage pris depuis le village de Tanaron
Une variante repérée dans l’itinéraire Digne-Cuneo, reliant le sud de la France à la Slovénie, passe par les sentiers de Tanaron.
Sous l'impulsion de l'adjoint au maire en charge du secteur, la CC3V a réalisé une passerelle népalaise traversant le Bès et ouvrant sur un maillage de sentiers, créant une attraction nouvelle pour les randonnées familiales.
D'autres chemins pour les randonnées, petits ou grands
La Communauté de Communes est engagée dans un programme d’ouverture de la totalité des anciens sentiers sur le territoire de Tanaron. Ces 60 km de voies sont depuis l'antiquité tracés par les crêtes, délaissant la vallée « coupe gorge », où passe aujourd’hui la route Digne-Barles.
La Communauté de communes des trois vallées a déjà ouvert et balisé 25 km de sentiers de randonnée communaux dont elle assure l'entretien. Ces sentiers sont très fréquentés par les nombreux randonneurs qui arpentent toute l’année les magnifiques sites de ce territoire.
60 km de voies, 25km de sentiers de randonnée communaux
Le programme d'ouverture des anciens sentiers
Ces paysages ont inspiré Jean Giono, et parmi nos contemporains, Pierre Magnan, dans « Les courriers de la mort », situés sur la commune de Barles qui rencontre celle de Tanaron à l’entrée de la Clue du même nom.
De Gioni à Magnan
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« La Sentinelle » d’Andy Goldsworthy, à l’entrée des Clues de Barles, marquant la limite de la commune,
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le surprenant « Sanctuaire de la nature » d’Herman De Vries, posé à Roche Rousse, hameau de Tanaron.
L’association « Le cairn », née de la réserve géologique et du musée départemental, est à l'initiative du « sentier des arts » qui traverse le territoire de Tanaron et y accueille des œuvres d’artistes mondialement connus :
Le sentier des Arts
Un territoire marqué par l'art contemporain et la littérature
Fossile de l’ichtyosaure à la Robine
Un paysage géologique, la clue du Péouré
Le décor est jalonné de sites géologiques superbes, signalés, et souvent protégés :
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le vélodrome,
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la lame de Facibelle,
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les courants marins fossilisés,
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les empreintes fossilisées de pattes d’oiseaux marins,
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les clues du Péouré et de Barles,
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le site de l'impressionnant fossile de l'ichtyosaure, mammifère marin situé sur la Robine, limitrophe de Tanaron.
Riche d’une biodiversité exceptionnelle en flore et en faune, Tanaron est intégré dans un site Natura 2000, sur le sentier des Arts du Pays Dignois.
Des paysages jalonnés par des sites géologiques
Le village de Tanaron, perché 300 m au dessus de la vallée du Bès sur un éperon rocheux, tel une sentinelle, est à 1050 m d'altitude.
Il se situe à la croisée de chemins et d'anciennes voies royales, dans un site géologique remarquable.
Immense territoire dans un lieu aride, c'est géographiquement une grande ex-commune de plus de 2000 hectares, riche de sites exceptionnels, classés au patrimoine de l'Unesco et d’une longue histoire que l'association reconstitue peu à peu.
Un village traversé par la route du temps
Au Nord de la Haute Provence, en plein coeur coeur de la plus grande réserve géologique d'Europe, Tanaron est à une demi-heure de Digne-les-bains, préfecture du département, à 150 km de Marseille et de Nice, 190 km de Grenoble et 5 heures de Paris par la navette et le TGV.
Un site exceptionnel
La dalle aux ammonites, réserve géologique de Haute Provence, sur la route de Barles